Jour J : aujourd’hui nous nous faisons marquer la peau pour le restant de nos vies, et quel meilleur endroit pour le faire que la Polynésie Française, berceau de cette technique désormais répendue dans le monde ! Nous quittons le camping vers 8 h 15 avec France et Alain, ce dernier ayant aussi craqué…Pour deux tatouages !
Nous arrivons pour 9h00. Sam est là, il nous attend ce bourreau…Jojo passe à la casserolle en premier ! Les premières 20 minutes sont passées à redéfinir l’endroit exact du motif sur l’avant bras, un peu stressant parce qu’il ne travaille pas du tout comme les tatoueurs classiques ! Au gros feutre genre indélibile il trace les contours du tatoo…Qu’il efface pour repasser dessus s’il y a des retouches à faire. Ca ne ressemble plus à rien à la fin, surtout qu’il n’y a que les contours externes. Le remplissage ? Surprise ! Il fait au feeling et la situation personnelle (marié, frères/sœurs…). La boucherie durera près d’une heure. Ca fait mal ? Quand même. Comme le disait Clément, ce n’est pas un massage. La sensation varie d’une légère griffe de chat à un bon scalpel chauffé au rouge…Mais ça reste supportable. Mégane passe à la casserole par la suite, le sien ne durera que 40 minutes. La cheville aussi ça ne fait pas du bien…
Nous allons par la suite faire du shopping à Fare : nouveau smartphone pour Jojo, passage à un ATM pour retirer des sous, courses d’appoint…Cela durera près d’1h40 quand même. Jojo a acheté un Wiko…A la poste ! Assez original.
Nous retrouvons nos compagnons de tatouage, et rentrons au camping. Il est proche de 14h30, il fait fort faim du coup nous mangeons nos restes. Nous glandons un peu à l’ombre avec nos compatriotes avant de faire nos sacs et de dire adieu ou au revoir pour certains…Nana Huahine ! Clément, fort sympa, nous fait la navette jusqu’à l’aéroport.
Embarquement sans histoire (pas de contrôle de sécurité), 30 minutes de vol et nous voilà arrivés à Papeete. Nous avons le temps de faire le blog et tout : il est 19h00 et notre vol est à 3h00 du mat’ ! Nous revoyons Mathieu et Lucille, nous allons faire un bout de chemin ensemble à l’île de Pâques.
